Bon ben voilà dans la foulée des présidentielles on voit mal qui s'opposera à une vague bleue. Les roses sont plutôt fanés et les oranges risquent de stopper au rouge...
Pourquoi pas après tout même si la pseudo ouverture pronée par les nouveaux hommes en place n'est pas dénuée d'arrière pensée : les réformes favorables sont discutées maintenat, il restera 5 ans pour faire passer les autres...
Un mot pour Bernard Kouchner que j'ai toujours admiré pour ses engagements. Mais celui hâtif pour rejoindre un gouvernement de droite avant même les législatives me laisse un goût amer. d'autant que sur le Darfour il doit déjà faire marche arrière...
Un mot sur Bayrou dont les choix d'indépendance risquent de coûter cher en terme de représentativité à la prochaine Assemblée. Mais après tout c'est aussi à la capacité des hommes politiques à gérer leur période de disette qu'on reconnait, ou pas les futurs hommes d'Etat.
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