Lu dans la presse de ce jour un article détaillé sur les (nouvelles) hausses à venir sur les produits alimentaires en particulier ceux utilisant de la farine. Le pain donc est visé, produit de base de notre alimentation avec cette analyse économique superbe : si le pain augmente c'est parce que la farine augmente, et si la farine augmente, c'est parce que... le SMIC a augmenté.
Evidemment avec des calculs comme cela on n'est pas prêt de retrouver un cercle vertueux de croissance. Parce que à ce compte là si le gaz augmente c'est parce qu'il y a des inconscients qui mettent du chauffage en hiver et si l'essence augmente c'est bien parce que des fous roulent en voitures.
Comme une forme de jusqu'au boutisme, notre système marchand ne générerait plus de croissance que sur le dos des consommateurs puisque les grandes entreprises, dirigées par des fonds de pension et les organismes financiers se consacrent intégralement à la quête du profit. Jusqu'à ce que les dits consommateurs n'aient plus les moyens d'acheter et par leur abstinence empêchent alors une hausse supérieure.
Problème de tout cela : comment les prix peuvent ils baisser pour redonner du pouvoir d'achat aux consommateurs puisque personne ne joue le jeu ?
Professeur fifi notre Premier Ministre patauge déjà dans ses prévisions de croissance, c'est dire dans quel pétrin l'on est !
Evidemment avec des calculs comme cela on n'est pas prêt de retrouver un cercle vertueux de croissance. Parce que à ce compte là si le gaz augmente c'est parce qu'il y a des inconscients qui mettent du chauffage en hiver et si l'essence augmente c'est bien parce que des fous roulent en voitures.
Comme une forme de jusqu'au boutisme, notre système marchand ne générerait plus de croissance que sur le dos des consommateurs puisque les grandes entreprises, dirigées par des fonds de pension et les organismes financiers se consacrent intégralement à la quête du profit. Jusqu'à ce que les dits consommateurs n'aient plus les moyens d'acheter et par leur abstinence empêchent alors une hausse supérieure.
Problème de tout cela : comment les prix peuvent ils baisser pour redonner du pouvoir d'achat aux consommateurs puisque personne ne joue le jeu ?
Professeur fifi notre Premier Ministre patauge déjà dans ses prévisions de croissance, c'est dire dans quel pétrin l'on est !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire