Suite et fin de la dure mais juste réalité démocratique des Municipales 2008 qui, à l'issue du deuxième tour, rend un verdict irréversible. Des têtes couronnées sont tombées de haut, palmarès dans l'Est et ailleurs.
Gadin d'or au duo strasbourgeois Keller-Grossmann pourtant tout heureux de récupérer la ville sur une querelle socialiste il y a 5 ans. Seulement voilà, le duo Ries-Trauttman avait pourtant montré le mauvais exemple. Nos compères enchainent. Par sa distance et son effacement, Fabienne Keller n'aura pas séduit l'électorat alsacien. Par son tempérament et ses excès Robert Grossman aura lassé jusque dans son propre camp. Malgré un vrai bilan, des réalisations concrètes et souvent conséquentes la mayonnaise n'aura pas pris au pays de la choucroute. C'est le régional de l'étape ,Roland Ries, à l'image lissée et retravaillée qui rafle la mise.
Gadin d'argent à la droite messine, si préoccupée par la victoire à venir, si persuadée de conserver cette vierge cité jamais ralliée à une quelconque gauche. La fin de règne a vu des acteurs incertains investir l'espace politique, Zimmermann, Griesbeck, Joaville, Stenmar... Des novices qui ont joué avec le feu de la politique. S'y sont brulés au grand bonheur de Dominique Gros et d'une gauche qui n'en demandait pas tant.
Gadin d'or au duo strasbourgeois Keller-Grossmann pourtant tout heureux de récupérer la ville sur une querelle socialiste il y a 5 ans. Seulement voilà, le duo Ries-Trauttman avait pourtant montré le mauvais exemple. Nos compères enchainent. Par sa distance et son effacement, Fabienne Keller n'aura pas séduit l'électorat alsacien. Par son tempérament et ses excès Robert Grossman aura lassé jusque dans son propre camp. Malgré un vrai bilan, des réalisations concrètes et souvent conséquentes la mayonnaise n'aura pas pris au pays de la choucroute. C'est le régional de l'étape ,Roland Ries, à l'image lissée et retravaillée qui rafle la mise.
Gadin d'argent à la droite messine, si préoccupée par la victoire à venir, si persuadée de conserver cette vierge cité jamais ralliée à une quelconque gauche. La fin de règne a vu des acteurs incertains investir l'espace politique, Zimmermann, Griesbeck, Joaville, Stenmar... Des novices qui ont joué avec le feu de la politique. S'y sont brulés au grand bonheur de Dominique Gros et d'une gauche qui n'en demandait pas tant.
Gadin de bronze aux membres du gouvernement battus, en particulier Xavier Darcos, pourtant bien implanté et Christine Lagarde, toujours aussi stratosphérique.
Le Gadin centré à François Bayrou qui, par manque de pot ou de charisme à rater aussi ce mandat là.
Le Gadin droit à Rama Yade, notre chef des droits, pas élue, la blanche Colombes...
Ils n'auront pas droit aux gadins mais étaient nominés : Jean-Marie Bockel à Mulhouse a payé cher son ouverture, Jean-Claude Gaudin à Marseille peut ériger une statue à Renaud Muselier son sauveur, Jean Tibéri est encore là, il n'y croyait pourtant plus lui-même...
Le mot de la fin de cette pétulante péruiode électorale où le bon sens politique, loin du bling bling omniprésent, a rappelé son pouvoir, à Jean-Marie Rausch entre les deux tours : à propos de son Premier Adjoint... " Parce que cette fois ce ne sera pas une personne neutre comme l'ont été Jacques Faudon ou André Nazeyrollas. Cette personne sera en piste pour me succéder. Or il y en a plusieurs dans ma liste, même si des signaux sont donnés. J'attends après l'élection pour le dire. Le premier adjoint aura des chances d'être le futur maire. "
Comme quoi on peut avoir été visionnaire,
et ne plus rien voir du tout...
Le Gadin centré à François Bayrou qui, par manque de pot ou de charisme à rater aussi ce mandat là.
Le Gadin droit à Rama Yade, notre chef des droits, pas élue, la blanche Colombes...
Ils n'auront pas droit aux gadins mais étaient nominés : Jean-Marie Bockel à Mulhouse a payé cher son ouverture, Jean-Claude Gaudin à Marseille peut ériger une statue à Renaud Muselier son sauveur, Jean Tibéri est encore là, il n'y croyait pourtant plus lui-même...
Le mot de la fin de cette pétulante péruiode électorale où le bon sens politique, loin du bling bling omniprésent, a rappelé son pouvoir, à Jean-Marie Rausch entre les deux tours : à propos de son Premier Adjoint... " Parce que cette fois ce ne sera pas une personne neutre comme l'ont été Jacques Faudon ou André Nazeyrollas. Cette personne sera en piste pour me succéder. Or il y en a plusieurs dans ma liste, même si des signaux sont donnés. J'attends après l'élection pour le dire. Le premier adjoint aura des chances d'être le futur maire. "
Comme quoi on peut avoir été visionnaire,
et ne plus rien voir du tout...
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